Ce titre volontairement provocateur ne vous dispense pas d’apprendre à utiliser Photoshop ou Illustrator si vous souhaitez devenir graphiste. Pourtant, d’autre outils peuvent vous aider à faire de la PAO, même s’ils semblent appartenir à une autre époque. C’est ce que nous prouve le jeune britannique James Cook. Etudiant, en pleine formation pour devenir architecte, il réalise de merveilleux portraits à l’aide de machines à écrire traditionnelles. Un travail qui navigue entre l’illustration et la typographie, mais surtout passionné ! (suite…)
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Une œuvre anamorphique transforme une rue de Montréal en désert de sable
Une anamorphose est une déformation d’une image. Dans l’art, il s’agit d’une œuvre volontairement déformée et visible parfaitement en se plaçant d’un point de vu donné. C’est ce qu’a réalisé le studio d’architecture canadien NÓS à proximité du musée des Beaux-Arts de Montréal. Les architectes ont dessiné à même le sol un paysage de dunes de sable uniquement avec des lignes colorées.
Encore étudiant dans une formation d’illustrateur, cet artiste réalise des collages agrémentés de dessins à l’encre de chine
Actuellement en formation d’illustrateur au Maryland Institute College of the Arts, l’artiste sino-américain Richard Liu n’a pas attendu la fin de ses études artistiques pour réaliser des créations remarquables. Il réalise des collages agrémentés de dessin au crayon graphite et à l’encre de chine pour créer des images pleines de contrastes et d’harmonie.
Comment créer le logo d’une équipe de football ?
Pour tout graphiste, la création d’un logo est une étape obligée. C’est d’ailleurs souvent un exercice qui est proposé dans les cadres des formations aux métiers du graphisme. Si la refonte d’un logo ou d’une identité graphique est très souvent sujette à discussion, le cas particulier des logos de clubs sportifs, notamment de football, déchaîne bien souvent les passions. Décryptages des derniers exemples en la matière… (suite…)
Il revisite les chefs-d’œuvre de la peinture en temps de confinement
L’artiste espagnol José Manuel Ballester n’a pas attendu la crise du COVID-19 et les mesures de confinement pour réaliser sa série de peintures « Concealed Spaces ». Pourtant, en récréant ces toiles incontournables en les vidant de leurs personnages, le travail du graphiste prend aujourd’hui une toute autre résonnance. En imaginant les chefs-d’œuvre classiques comme « Le 3 mai 1808 à Madrid » de Goya, « L’allégorie de la peinture » de Vermeer et « La naissance de Vénus » de Botticelli, en y ôtant l’aspect central, à savoir l’Humain, l’artiste donne à réfléchir.